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Nihilisme et (in)culture crasse

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Sous ses atours protestataires et au-delà des polémiques stériles qu’elle veut susciter, c’est une prose tout à fait convenue qui nous est livrée ici ; une prose ridicule par l’ostentation de ses phrases ronflantes, où la récupération de Kateb Yacine se mêle au nihilisme et à une (in)culture crasse.

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De l’internationalisation de l ‘anti-colonialisme

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Pour ce quatrième épisode du podcast de Litteralutte, on explore Alger-Tokyo. Au travers de cet essai c’est une histoire de la diplomatie algérienne pendant la guerre de libération que nous livre la philosophe Seloua Luste Boulbina, la manière dont l’internationalisation d’une lutte émancipatrice permet d’amorcer une véritable dynamique. Mais surtout, le fait que l’internationalisation d’une cause – quelle qu’elle soit – permet de l’envisager du point de vue matérialiste, historique et non essentialiste. Ce sont ces questions nous explorerons ici dans le cas de la lutte antiraciste et plus précisément anti-colonialiste au travers des parallèles qui s’esquisseront entre le Japon et la France la Corée et l’Algérie… 

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Repenser le numérique

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Pour ce troisième épisode du podcast de LItteralutte, on explore À bout de flux fascinant essai de Fanny Lopez aux éditions Divergences, dans lequel est mis en lumière un impensé lorsqu’il s’agit parler de numérique ou de digital. À bout de flux nous amenant à réfléchir sur l’infrastructure numérique à partir de son double invisible ; l’infrastructure électrique.

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Antananarivo : répression et révolution

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Pour ce deuxième épisode du podcast de LItteralutte, on revient sur Amour, patrie et soupe de crabes de l’écrivain Malgache Johary Ravaloson, roman polyphonique dans lequel se succède une multitude de personnages appartenant tant aux classes dominé·e·s que dominant·e·s, ville traversée par des révoltes qui parfois débouchent sur des révolutions. Dans l’île de Madagascar, comme ailleurs, elles ont été nombreuses, elles continueront, et c’est la question de ce qui vient après la révolte, l’après-révolution qui est esquissé en filigrane du roman, cet instant singulier où le pouvoir tombe et qu’il est remplacé par un autre. Serait-ce alors la rengaine de la futilité du sujet révolutionnaire ?