Divertir, ça a l’air inoffensif. Sympa. Presque généreux. On te ferait croire que ça ne sert qu’à « reposer les cerveaux ». Mais si justement, le problème, c’était ça ?
Et si le divertissement n’était pas un à-côté, mais une pièce maîtresse de l’exploitation contemporaine ?
Derrière les formats calibrés, les récits qui n’offensent personne, les vidéos « engagées mais digestes », il y a peut-être un projet : anesthésier les consciences, conditionner les corps, et rentabiliser jusqu’à ton temps libre.
Et si le vrai luxe, ce n’était pas de se divertir, mais de s’arracher à tout ça ?
Pour aller plus loin, retrouve la version écrite (et détaillée) par ici : À la sauce mainstream ou engagée, les divertisseurs te bouffent.