L’antispécisme, une lutte émancipatrice
Entrée dans une pensée et une lutte émancipatrices méconnues, trop souvent caricaturées et dont on minimise l’importance.
Entrée dans une pensée et une lutte émancipatrices méconnues, trop souvent caricaturées et dont on minimise l’importance.
nous trouvons engagés par les communs négatifs que nous lèguent le monde organisé dans et par le capitalisme. Que faire de ces infrastructures, projets et imaginaires ? Héritage et fermeture sont les deux gestes d’une écologie proprement responsable : en finir avec ce monde-là.
Qu’est-ce que l’indépendance ? Face à ce concept désormais creux, vidé de toute sa charge émancipatrice, Julien Lefort-Favreau nous offre un essai revigorant.
D’après la quatrième de couverture, Art Sexe Musique « est un point de vue à la fois situé et transversal sur l’underground anglais des années 1960 à nos jours ». Oui, mais ce texte foisonnant a bien d’autres qualités.
Vitrines de la nature sauvage, les parcs naturels américains sont d’abord des espaces d’où les populations locales ont été chassées et contrôlées. Karl Jacoby retrace l’histoire de ces violences et de leurs résistances.
Tisser, le nouveau livre de Raharimanana, comme condensé jubilatoire et âpre d’une œuvre à part…
Impossible de condenser en 80 pages de format poche l’essentiel de ce qui permet de comprendre les débats actuels autour de la racisation et d’y participer de façon constructive ? Sarah Mazouz n’est pas loin de l’exploit…
Avec un titre pareil : agir non agir [sans majuscule] éléments pour une poésie de la résistance écologique il y avait de quoi s’enthousiasmer. Ce n’est pas tous les jours qu’un poète (traducteur et écrivain) de la trempe de Pierre Vinclair s’attelle à une telle tâche, celle de ramener un peu de politique dans le corps du poème et plus généralement de cette chose vague et sans bornes que nous appelons toutes et tous littérature.
À la lecture de La chair du politique , dernier numéro de la revue Sensibilités des éditions Anamosa, on sort avec l’idée qu’effectivement, à y regarder de près, c’est d’affectivités qu’il en va en politique. « La chair du politique » parce que le sentiment fait et défait l’engagement, l’engagement fait et défait le sentiment.
accélérationniste et connectiviste. Une invitation, une ouverture à la relecture de l’œuvre du philosophe du philosophe du désir que nous propose Andrew Culp, dévoilant ainsi les atours d’un Deleuze sombre dont le compagnonnage nous permettrait d’analyser et détruire les forces d’un monde intolérable.